6 mois… cela fait 6 mois que le nom de mon blog est bloqué. 6 mois mais toujours en attente du moment pour commencer à le rédiger et à le partager.
Cela semble aisé mais encore faut il trouver le bon sujet, les bons mots, les bonnes images.
Alors, aujourd’hui le jeudi 10 juin 2010, 3 jours après le concert phénoménal de Jónsi au Bataclan, je commence ce blog. Go est le nom de l’album de Jónsi alors Go… Ce sera définitivement le début idéal pour moi !
Après les 30 minutes de première partie du groupe américain Glasser - qui n’aura pas vraiment réussi à chauffer la salle malgré les 35°de cette dernière -, Jónsi rejoint la scène seul avec sa guitare acoustique pour les 2 premières chansons.
Dès les premières notes et les premières paroles, le public se tait religieusement et se laisse happer par la voix de Jónsi. Le ton du concert est donné, ce sera grandiose.
Le reste du groupe le rejoint et s’en suivent les morceaux tous plus aussi extraordinaires les uns que les autres. Le public du Bataclan réagit comme il se doit à la déferlante Jónsi.
Il est vraiment difficile d’essayer d’apposer des mots sur les émotions ressenties lors de ce concert. Vous passez par tous les états en l’espace d’1h30.
Sur des morceaux tels que Boy Lilikoi, Go Do ou Animal Arithmetic l’euphorie vous envahit à la limite de la transe et quelques minutes plus tard sur une autre chanson vous vous retrouvez à contenir vos larmes et à combattre les frissons qui vous envahissent…
C’est éprouvant un concert de Jónsi.
Sur des morceaux tels que Boy Lilikoi, Go Do ou Animal Arithmetic l’euphorie vous envahit à la limite de la transe et quelques minutes plus tard sur une autre chanson vous vous retrouvez à contenir vos larmes et à combattre les frissons qui vous envahissent…
C’est éprouvant un concert de Jónsi.
Ce concert c’est aussi le moment de visualiser toute l’originalité artistique de la mise en scène des Islandais.
La scène est équipée de 4 écrans. 2 sur le devant de la scène aux 2 extrémités droite et gauche, 1 supplémentaire derrière celui de gauche et le dernier qui fait toute la largeur de la scène du Bataclan. Sur les écrans, les images se succèdent.
Les projections passent du combat d’un loup et d’une biche, aux écrans qui se remplissent d’eau au rythme de la musique et à la contemplation de fleurs et de fougères qui poussent… Il n’y a rien à dire tant les images ajoutent une dimension magique à ce concert.
La scène est équipée de 4 écrans. 2 sur le devant de la scène aux 2 extrémités droite et gauche, 1 supplémentaire derrière celui de gauche et le dernier qui fait toute la largeur de la scène du Bataclan. Sur les écrans, les images se succèdent.
Les projections passent du combat d’un loup et d’une biche, aux écrans qui se remplissent d’eau au rythme de la musique et à la contemplation de fleurs et de fougères qui poussent… Il n’y a rien à dire tant les images ajoutent une dimension magique à ce concert.
Dans cette continuité, il est impossible de ne pas souligner le travail des costumes scéniques. Jónsi sera vêtu ce soir là d’une veste faite de patchwork de tissus et de fils dégoulinants ou coiffé d’un chapeau d’Apache multicolores, le tout apportant une touche supplémentaire d’onirisme au groupe et d’extraordinaire au concert.
Et c’est en là toute la maitrise de ce groupe. Que ce soit au niveau musical ou visuel, tout est réuni pour que vous n’oubliiez pas cet instant et que vous en redemandiez.
Alors forcément lorsque concert se termine dans une explosion musicale orgasmique avec le morceau Grow Till Tall, d’images apocalyptiques d’un orage islandais et d’applaudissements ininterrompus du public vous n’avez vraiment pas envie de quitter la salle…
Alors forcément lorsque concert se termine dans une explosion musicale orgasmique avec le morceau Grow Till Tall, d’images apocalyptiques d’un orage islandais et d’applaudissements ininterrompus du public vous n’avez vraiment pas envie de quitter la salle…
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